Pharaon : Mon royaume est de ce monde
Le Parisien (Pierre Vavasseur)
“[…] Au prisme de l'Egypte antique, Jacq raconte avec une diabolique habileté et une vraie et légitime place donnée aux femmes, les rouages de la scène politique contemporaine.”
Pharaon signe votre grand retour au roman égyptien. Est-ce un plaisir particulier de renouer avec votre passion première ?
Si l'écriture est, pour moi, un plaisir constant, le choix du thème d'un roman exprime une nécessité. Si bizarre que cela paraisse, Pharaon ne me semble pas moins contemporain que Sphinx, même s'il se situe dans l'Antiquité égyptienne. Ce texte aborde des problèmes très actuels, depuis la vision d'une société harmonieuse jusqu'à l'art de gouverner. Le sous-titre, « Mon royaume est de ce monde », exprime la réussite du pharaon remarquable que fut Thoutmosis III, intermédiaire entre les dieux et les humains.
En quoi, justement, Thoutmosis III fut-il exceptionnel ?
Pendant trois millénaires, tous les pharaons se sont soumis à la loi de Maât, règle de l'harmonie universelle et principe de cohérence. Mais chacun et à affronter des circonstances propres à son temps. Lettré, scientifique, spécialiste des rites, Thoutmosis sut défendre son pays contre une sérieuse menace d'invasion. Aussi apparaît-il comme une synthèse du passeur et de l'homme d'action. Il n'est pas anodin de
constater que le mot « pharaon », qui signifie « la grande demeure » accueillant tous ses sujets, ait été employé pour la première fois à son égard.
On l'a surnommé plus tard « le Napoléon égyptien ». À quel titre ?
Quand il fut élu pharaon, Thoutmosis III était trop jeune pour régner. La régence fut assurée par la reine Hatchepsout, qui monta à son tour sur le trône. À sa mort, le jeune roi, passionné par l'étude des rituels et des textes anciens, ne semblait pas capable d'assumer réellement le pouvoir. Cette faiblesse supposée suscita l'alliance des Palestiniens, des Syriens et des ancêtres des Turcs. Leur projet était de fomenter des troubles et d'envahir l'Égypte.
Confronté à cette hostilité, le jeune pharaon ne demeura pas inactif, au contraire. Il lui faudra dix-sept campagnes militaires, certaines risquées, pour éviter le chaos au Proche-Orient. Stratège et tacticien, il fut qualifié de « Napoléon égyptien » mais ses interventions firent peu de victimes et ne visèrent pas à créer un empire. Ses seules préoccupations étaient la paix et la sécurité de l'Égypte. Face à l'adversité et aux coups sévères que lui porta le destin, Thoutmosis ne renonça jamais. Et son royaume, inspiré de l'harmonie céleste, fut bien de ce monde...
Un grand sage plus qu'un guerrier ?
L'homme était profond, épris de sagesse. Dans le roman, j'utilise la première personne pour lui donner la parole et rendre plus présente sa sensibilité. Thoutmosis III dessina lui-même les scènes du Livre de la chambre cachée sur les murs de sa tombe de la Vallée des rois. Un véritable livre écrit pour l'éternité ! Grand bâtisseur, c'est lui qui fit construire à Karnak le temple destiné à l'initiation des grands prêtres. Thoutmosis III eut la chance de tomber amoureux d'une musicienne, Satiâh, une femme exceptionnelle qui le marquera à jamais.
Parlez-nous donc de cette femme...
Les témoignages archéologiques, évoqués dans le roman, prouvent que Satiâh, « Fille de la Lune », fut une reine exceptionnelle. Elle occupa de hautes fonctions, tant spirituelles que temporelles, et bénéficia d'une faveur unique : vivre une fête de régénération, d'ordinaire réservée au roi.
Rappelons que le concept « Pharaon » désigne un couple, incarnation d'Osiris et d'Isis, laquelle détient les clefs de la résurrection. Pendant les campagnes militaires de Thoutmosis à l'étranger, c'est Satiâh qui dirigea l'État avec fermeté et intelligence. Sa mort fut une rude épreuve pour le souverain, qui ne cessa de la commémorer.
Votre roman fourmille aussi de personnages hauts en couleur, comme Le Vieux et son âne Vent du Nord. Que disent-ils de l'époque ?
Le Vieux et Vent du Nord, désormais inscrit au répertoire des ânes célèbres, sont présents dans nombre de mes romans, car ils illustrent des aspects majeurs de la culture et de la société égyptienne. Vent du Nord comprend tout, a son langage, perçoit l'avenir : telle est la magie du monde animal, expression d'une force surnaturelle, partout présente dans l'univers des anciens Égyptiens. Le Vieux, lui, est revenu de tout, mais il est prêt à y retourner si le roi est juste et si la règle de vie est respectée. Lui, on ne l'abuse pas. Et il n'a pas son pareil pour débusquer menteurs et paresseux, qui mettent en péril la cohérence sociale. Humour, rigueur et dynamisme le caractérisent ! Je l'aime beaucoup.
Comment avez-vous travaillé pour écrire ce livre ?
La vie de Thoutmosis III est une épopée, rythmée par des événements que relatent, notamment, les Annales de Karnak. L'égyptologue a fourni au romancier les textes indispensables pour suivre, année après année, la destinée du pharaon. Le lecteur bénéficiera ainsi d'une information de première main !
Commentaires sur l'ouvrage (14)
Très bon livre avec toute les caractéristiques habituelles de Christian jacq . Ce roman nous ramène en Égypte au moment où thoutmosis lll est pharaon . L ' intrigue policière est pas mal même si la fin est prévisible.
j'ai était surprise par ce roman sur Thoutmosis III car certain que j'ai lu le montrais méchant et qu'il détesté Hatchepsout la je vois un Pharaon un bon un gentil, il aime vraiment ça première reine ça me fait mal au cœur pour la seconde d'ailleurs, l'histoire est vraiment super sympa a lire :)
Lecture détaillée et immersive, les combats et les rebondissements sonnent vrais et inspirent davantage de curiosité encore pour l'Egypte et la plume ce de cet auteur.
La narration est celle d'un roman mais les détails historiques contextualisent le récit de manière à nous faire oublier la part hypothétique de ce type d'œuvre.
Il s'agit d'une biographie romancée, autrement dit, le lecteur apprend des faits historiques à travers un récit. Ce type de roman est selon moi beaucoup plus agréable que de lire une biographie où le lecteur n'a affaire qu'aux évènements historiques décritent de manière chirurgicale. Ainsi, je suis tout à fait d'accord avec J. de La Fontaine. Ne préférait-il pas " apprendre en s'amusant " ?
J'ai beaucoup aimé ma lecture au point que le roman fut vite terminé ˆˆ' Comme toujours avec C. Jacq, sa plume est fluide et son écriture facile à comprendre. C'est toujours un régal que de le lire !
Le protagoniste principal, vous l'aurez deviné, est Thoutmosis III, le narrateur. Quelques fois, pourtant, le lecteur suit d'autres protagonistes, amenant ainsi des épisodes humoristes ou teintées de terreur. J'apprécie beaucoup ce système qui m'a mise sur des chardons ardents car le lecteur apprend des faits que Thoutmosis III ne connait pas. Cela entraîne de l'appréhention et un malaise parce que le lecteur craint ce qui va suivre.
Comme je le disais au début de ma critique, le lecteur est en présence d'une biographie. Ici, le lecteur suit la vie de Thoutmosis III, de sa prise de pouvoir jusqu'à sa mort. Il découvre le stratège ainsi qu'un fervant croyant qui honore les dieux en construisant de nouveaux temples.
J'ai beaucoup aimé la découverte des peintures ornant son tombeau au fur et à mesure de la lecture de ses aventures. Cela me fait penser à un métronome qui annonce ce qui va se passer par la suite.
Une biographie romancée qui me donne envie d'en savoir un peu plus sur ce Napoléon Egyptien qu'est Thoutmosis III.
Longtemps sous-estimé et laissé à ses études tandis que la grande Hatchepsout, sa tante, régnait, l'inquiétude plane lorsque la régente décède et qu'il lui faut prendre le pouvoir. L'Egypte est un grand pays, entouré d'ennemis. Aura-t-il la carrure?
On suit donc pas à pas les différentes années du règne de ce pharaon. Lorsque l'histoire manque, Christian Jacq comble les quelques trous avec son imagination. Campagnes militaires, choix politiques, ennemis dans l'ombre et famille à construire, sa vie est étalée et ce pharaon nous est incontestablement montré comme un grand Homme. Un grand Homme dans un grand Etat. Roman choral un peu particulier, on suit plusieurs points de vue, passant d'une narration externe à une narration interne lorsqu'il s'agit de Thoutmosis.
On voit ainsi l'administration si rodée et méritocratique qu'est l'Etat égyptien. On voit aussi ses rituels, indispensables dans le quotidien de la vie de ce pays qui doit tant aux dieux. Enfin, on voit les relations diplomatiques, ou non, avec les pays voisins: la Nubie, la Syro-Palestine, le Liban, etc. Ce livre m'a beaucoup appris, c'est indéniable. J'ai aimé cette virée dans l'Egypte du XVe siècle avant J.C.
Ce que j'ai moins aimé, en revanche, ce sont les personnages, un peu trop lisse ou manichéens à mon goût, ou encore les scènes de bataille et les rebondissements, un peu trop épuré. A l'ordinaire, j'aime les chapitres courts, cela rythme la lecture. En l'occurrence, je trouve qu'il nécessitait peut-être un peu plus de développement.
Challenge Pavés 2020
Challenge A travers l'histoire 2020
Ah comme j'aime les romans de Christian Jacq !! Je sortais du roman " Le moine et le vénérable " que j'ai particulièrement aimé et je me suis plongée dans celui-ci avec plaisir !
Lire un roman de Christian Jacq est comme un voyage, j'ai eu la sensation d'être en Egypte, de sentir le calme de la Vallée des rois, de voguer sur le Nil....
Nous nous attachons très vite aux personnages et le fait que Touthmôsis soit le narrateur donne plus de profondeur au récit !
Je n'ai qu'un conseil à vous donner amis lecteurs, n'hésitez pas, lisez-le !!!
Fan d'égyptologie, ce livre m'a fait découvrir un pharaon dont je ne connaissais que peu de choses. L'écriture est fluide, les personnages secondaires comme le Vieux et Vent du Nord sont attachants, l'aspect historique est vraiment très intéressant. Voilà un moment que je n'avais pas lu de Christian Jacq et ce livre ne m'a pas déçue, au contraire, j'ai hâte d'en lire d'autres.
Le Pharaon Thoutmosis nous raconte son histoire. Il devient Pharaon à l'age de sept ans, jeune, trop jeune. C'est donc Hatchepsout, sa belle-mère qui règne. Lui,préfère se réfugier dans les bibliothèques et étudier les textes sacrés. Lorsque la Reine-Pharaon meurt, il prend toute la mesure de ses responsabilités. Thoutmosis aime son pays, son peuple, et ne se dérobe jamais quand il s'agit de partir défendre ses frontières. Une fois encore je me suis télétransportée le long du Nil....
Encore un roman fabuleux de Christian Jacq qui raconte la vie de Thoutomsis III, le napoléon Egytpien. Christian Jacq sait happer l'attention des lecteurs, çà donne envie de lire les autres.
Je ne suis pas un habitué des critiques mais je vais essayer comme ont dit chez moi de donner mon ti grain de sel.
Je suis sur le Nil et je vogue paisiblement sur la barque royale, pas de vague, pas de vent rien calme plat, je regarde ma montre c'est la première heure. Je descend de la barque, je vois les pyramides, les temples, l'Égypte que je ne connais pas, je marche dans le désert et je comprend que c'est trés fatiguant de marché si longtemps, je regarde ma montre ce n'est que la deuxième heure . Mon premier ministre veut s'entretenir avec moi, qu'a t'il donc à me dire.
- Gros problème votre majesté les Mittanniens nous invite à un dîner combatif.
- Prépare notre armée de cuistot ils vont goûters à nos meilleurs spécialités.
C'est la troisième heure et j'arrive à un point à ne plus vouloir tourner les papyrus de monsieur Jacq.
Trop de ré-pé-ti-tion dans ce livre, entre les 12 campagnes et les prières incessantes, je dirai fade, sans goût ni sentiment .
Pourtant quand j'ai demander à Vent du Nord s'il avait aimer ce livre c'est son oreille gauche qui c'est dresser ... Si ont écouter cet âne ou irais le monde.
Je m'appelle Jacopo, j'ai 14 ans et j'ai lit cet livre parce-que Thoutmosis III est mon pharaon prefere. Le livre est ecrit a la perfection et je pense que cet pharaon est un personnage ideale par un roman parce-que il a ete un grand guerrier y un pharaon modele pour son successeurs.
Je l'admire beaucoup, je conseille l'ouvrage parce-que raconte en maniere superbe situations reales avec particuliers tres interessants sur la vie de Thoutmosis III.
Lorsque le père de Thoutmosis s'éteint prématurément, il n'est alors âgé que de sept ans. Malgré son jeune âge, Thoutmosis devient alors roi et est placé sous la tutelle de sa tante et belle-mère, la reine Hatchepsout qui assurera la régence jusqu'à ce qu'il soit en âge de régner.
Vingt-deux années passent, durant lesquelles le jeune Pharaon en devenir se plonge inlassablement dans la lecture des précieux livres que renferme sa bibliothèque. Ce jeune homme, que tout destinait à devenir un puissant roi, ne se sent pas les épaules d'assumer un tel rôle et se croit à l'abri du poids de toutes les responsabilités qu'incombent à un Pharaon, même s'il participe aux prises de décisions, toujours en retrait.
Lorsque la reine Hatchepsout disparaît à son tour, il est bien malgré lui confronté directement à son rôle de Pharaon.
C'est alors que va s'opérer une véritable transformation. Obligé, de part ses responsabilités, de laisser de côté sa chère bibliothèque, Thoutmosis comprend rapidement que s'il veut se faire respecter par son peuple, sa propre cour et par ses ennemis, il devra asseoir son autorité et prouver à tous qu'il mérite le respect qui lui est dû. Le chétif jeune homme qu'il était devient un intrépide chef de guerre.
Lorsque son royaume se voit menacé par de nombreuses rébellions, il partira en expédition pour rétablir l'ordre au sein des peuplades révoltées.
Soucieux tout au long de son règne de la relation que sa cour et lui entretiennent avec le peuple, il n'aura de cesse d'améliorer sa gouvernance, en quête permanente du bien être de son pays et de son peuple.
Le respect qu'il inspirera sera parfois bien plus puissant que toutes les armées qu'il conduira.
Quel bonheur de retrouver Christian Jacq dans un livre sur l'Egypte Antique. Tel un retour aux sources, "Pharaon : mon royaume est de ce monde" nous plonge de nouveau dans ce qui a fait la renommée de son auteur.
La plume de Christian Jacq est fluide, accessible, variée et rythmée. L'auteur nous emporte avec lui où il le veut avec une telle facilité... Mais cette fois, il le fait d'une toute autre manière selon moi. Nous retrouvons certes le Christian Jacq que nous apprécions tant, mais ce qui touche davantage dans ce roman réside dans l'atmosphère emprunte d'une sagesse toute nouvelle.
Ses personnages, captivants et intéressants marquent le lecteur, déposent leur emprunte dans votre inconscient, vous font sourire ou vous renvoie à d'anciennes lectures.
Comme à son habitude, l'auteur nous fait voyager...un panel de destinations qui ravira votre imaginaire.
En conclusion : Christian Jacq retrace avec beaucoup d'agilité le destin exceptionnel de ce grand roi, habile stratège, chef de guerre craint et respecté, homme brillant et bon. Le lecteur, fasciné par sa lecture, ne voit pas les 500 pages défiler. Impatiente et intriguée lorsque j'ai reçu ce roman, je l'ai dévoré en un rien de temps et je peux dire que je n'ai pas été déçue une seule seconde par cette lecture.
A vous désormais de vous laisser happer par le destin incroyable de Thoutmosis III !
Pharaon. Mon royaume est de ce monde est le dernier roman de Christian Jacq. Il m'a laissé sur ma faim. Je ne suis pas un fan invétéré de cet auteur, même si j'avais lu avec plaisir le "Juge d'Égypte" et son "Imothep".
Ici, Jacq s'attaque à un monstre : Thoutmosis III. Des notes émaillent le roman, ce qui est plutôt plaisant. Elles ne cassent pas non plus la lecture. La vie du pharaon, présentée dans le roman, est réellement historique et certains des personnages ont bien existé. C'est le cas de la famille du pharaon (je n'en dis pas plus). Djéhouty ou Rekhmirê ont aussi une existence historique, même si les fonctions peuvent varier. De même, les passions du pharaon, que Jacq évoquent dans le roman, sont attestées par l'historiographie.
Jacq prend parfois des libertés avec la réalité, sans doute pour des raisons de scénario et afin de ne pas surcharger l'histoire avec des faits et des personnages qui ne serviraient pas l'action.
En parlant d'action, justement, il ne faut pas trop en attendre. Malheureusement, je pense qu'il y a certaines choses prévisibles. Je me suis ennuyé à certains moments. J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, sauf peut-être au Vieux et son âne Vent du Nord. Pour le reste, je n'ai même pas été surpris par la fin ("tout ça pour ça", me dis-je au final).
Alors oui, ce roman propose quelques bonnes idées et l'aspect historique est tout à fait crédible. Malheureusement, l'histoire brodée autours est assez monotone. Le fait qu'il utilise les sources connues, notamment les récits des campagnes militaires du pharaon, mais aussi les onze heures du "Livre de l'Amdouat", rend sans doute l'histoire répétitive et donne cette impression de monotonie.
Nous découvrons aussi le temple de Karnak et ses employés. Nous percevons, à travers le roman, l'importance de ce temple et de son clergé, ainsi que sa richesse et son influence.
Finalement, je pense que c'est un format un peu bancal, car il oscille entre la biographie romancée à la Max Gallo et l'essai, mais l'ensemble avec une trame et des personnages inventés. C'est donc décevant pour les habitués des romans de Christian Jacq, mais aussi pour ceux qui aiment bien ses essais. Je n'ai toutefois pas abandonné et, pour le côté historique, cela reste de bonne facture, car l'auteur reste attaché à certains détails.
En terme de livres universitaires, pour compléter éventuellement ce roman, il existe la très volumineuse et complète biographie de Françoise Maruéjol, "Thoutmosis III et la corégence avec Hatchepsout" (Pygmalion, 2014).
Voilà un livre qui m'a fait voguer sur les bords du Nil;du grand Christian Jacq.Cela faisait longtemps que je ne m'étais sentie aussi bien en lisant ce genre de roman.
Le fait que Touthmôsis soit le narrateur donne beaucoup de corps à cet ouvrage.
Je dis encore des romans de ce genre Mr Jacq