Le Profil de l'assassin : Les Enquêtes de l'inspecteur Higgins [Tome 4]
Résumé :
L'assassin les aimait brunes, plutôt jeunes, et avait un sens aigu de la chasse. Détestant les femmes oisives, il tuait ses proies selon un protocole immuable et semblait laisser derrière lui de précieux indices. Et personne, jamais, ne parviendrait à l'identifier. Personne...
Sauf, peut-être, l'inspecteur Higgins, s'il comprenait pourquoi l'assassin agissait ainsi.
Commentaires sur l'ouvrage (22)
Un livre avec un style d'écriture bien pauvre, des redondances de partout, notamment dans les interrogatoires répétitifs ce qui s'avère inutile,et enfin, des rebondissements tellement ennuyeux qu'ils laissent de marbre.
Ce livre est un grosse déception du début à la fin (qui d'ailleurs est totalement tirée par les cheveux) ou l'on se lasse progressivement. La seule question qui le revenait quand je lisais ce livre n'était pas "Quel sont les réponses derrière cette série de meurtres ?" mais plutôt "Quand est-ce que ça va devenir intéressant ?".
Roman qui ne restera pas gravé dans ma mémoire.Pas vraiment de suspens.Pourtant d'habitude j'aime bien les enquêtes de l'inspecteur Higgins qui ressemblent un peu à des polars d'Agatha Christi . C'est souvent des huits clos avec plusieurs personnages ou tous peuvent être l'assassin. C'est sympa de chercher. Malheureusement dans celui là ,nous savons rapidement qui est le tueur et le reste pour démontrer sa culpabilité est long et tourne en rond.On verra le prochain !
Le troisième roman de la saga a été écrit en 1986. Le cinquième en 1988. Quand Christian Jacq, son éditeur et leur soif d'argent ont eu la brillante idée de publier à nouveau les enquêtes de l'inspecteur Higgins sous le véritable nom de l'auteur, ils ont commis une erreur. Celle de publier chaque année quatre romans de la série, deux « anciens » et deux « nouveaux », écrits à plus de deux décennies d'écarts.
Le quatrième volet des aventures de l'inspecteur Higgins a suscité en moi une grande déception. J'avais l'habitude de suivre un enquêteur à l'ancienne, capable, jusqu'au dernier moment, de démêler les alibis, de recouper les indices et de maintenir le lecteur dans le doute. Or, je me suis retrouvé face à un homme immergé dans un monde moderne, où Internet est une technologie presque obsolète. Pire encore, le cinquième roman, que je m'apprête à entamer, nous plongera dans une époque où un simple stylo était plus fiable que le plus puissant des ordinateurs.
Cette immersion m'a semblé impossible. L'inspecteur Higgins, tel que je l'avais connu au début de la saga, était méconnaissable, modernisé à l'excès. Les personnages évoluent avec leur temps, une évolution que je comprends parfaitement. Cependant, le choix éditorial d'entrelacer des romans écrits des décennies plus tard entre les premiers volets de cette saga demeure incompréhensible.
Outre passé cette déception, qui m'a accompagné de la première à la dernière page, je ne pas parvenu à apprécier l'intrigue proposée dans cet ouvrage. De plus, les chapitres ne semblent pas judicieusement structurés, souvent dépourvus de substance ou dénués de la moindre pertinence narrative. Cette fragmentation déconcertante altère le rythme naturel de l'histoire, créant des transitions abruptes et des discontinuités qui entravent l'immersion du lecteur. La résolution décevante de l'enquête, qui semble plus ébauchée que résolue, donne l'impression que l'auteur, après une centaine de pages, a perdu le fil conducteur de son intrigue, laissant les lecteurs sur leur faim et leur imagination en suspens.
Ils sont trois à mener cette enquête : le superintendant Scott Marlow, l'ex-inspecteur-chef Higgins et Angota Kingsley, la nouvelle profileuse de Scotland Yard.
C'est l'affrontement des anciennes méthodes d'investigation contre les nouvelles : le duo Marlow/Higgins contre la jeune profileuse pleine de suffisance.
Actuellement, un prédateur sévit. Il choisit toujours des jeunes femmes brunes, qu'il tue selon une même technique, en suivant un rituel dont il ne déroge pas.
Scotland Yard a confié l'enquête au superintendant Marlow, secondé par la jeune profileuse qui doit établir le profil psychologique du tueur en série. La presse impitoyable attend des résultats, la rumeur publique s'amplifie. Face à cette enquête qui piétine, Scotland Yard a trouvé sage de missionner Marlow, de prier Higgins de venir donner un petit coup de pouce à cette affaire qui s'enlise.
Higgins est à la recherche d'un tueur en série. Modernité oblige, il est assisté d'une profileuse qui débute dans le métier. Très rapidement , avec les indices laissés par le tueur, Higgins le démasque mais quelque chose cloche dans cette affaire... J'ai trouvé ce tome intéressant et original par rapport aux autres enquêtes d'Higgings que j'ai déjà pu lire. Cela reste cependant très classique.
Ils sont trois à mener cette enquête : le superintendant Scott Marlow, l'ex-inspecteur-chef Higgins et Angota Kingsley, la nouvelle profileuse de Scotland Yard.
C'est l'affrontement des anciennes méthodes d'investigation contre les nouvelles : le duo Marlow/ Higgins contre la jeune profileuse pleine de suffisance.
Actuellement, un prédateur sévit. Il choisit toujours des jeunes femmes brunes, qu'il tue selon un même protocole, en suivant un rituel dont il ne déroge pas.
Scotland Yard, a confié l'enquête au superintendant Marlow, secondé par la jeune profileuse qui doit établir le profil psychologique du tueur en série.
La presse impitoyable attend des résultats, la rumeur publique s'amplifie... Face à cette enquête qui piétine, Scotand Yard a trouvé sage de missionner Marlow, de prier Higgins de venir donner un petit coup de pouce à cette affaire qui s'enlise.
Réedition d'une série écrite par Christian Jacq sous le pseudonyme de J.B. Livingstone, les dossiers secrets de Scotland Yard présentent les enquêtes de l'ex-inspecteur chef Higgins, secondé par le superintendant Marlow.La série est apparue en 1984, aux Éditions du Rocher puis chez Gérard de Villiers en format de poche. Il s'agit d'enquêtes sous forme de "who'done it ?" dans la pure tradition d'Agatha Christie ou de Patricia Wentworth. Du roman policier "bon chic, bon genre
Ici, l'ex-inspecteur Higgins traque un assassin à l'instinct de chasseur qui tue des jeunes femmes brunes selon un protocole immuable et laisse derrière lui de nombreux indices. Pour cette enquête particulièrement tortueuse il sera aidé d'une jeune profileuse. Une grande première pour Higgins lui qui aime à malmenait gentiment son habituel binôme Marlow. Rien que pour cela la lecture vaut le détour.
Voilà donc le quatrième volume d'une série culte avec un héros irrésistible pour une enquêtes palpitantes
4ème tome des enquêtes de l'inspecteur Higgins.
Des femmes sont assassinées au cœur de Londres. La mise en scène du tueur est toujours la même : des objets particuliers sont déposés sur la victime.
Au bout de la quatrième victime et sans piste précise, le superintendant Marlow fait appel à l'ex-inspecteur-chef Higgins. Celui-ci va faire équipe avec une jeune femme Profileuse.
Quand Higgins fait procéder à l'arrestation d'un homme, l'affaire semble terminée.
Mais ne serait-ce pas plutôt le début d'une erreur judiciaire ?
Un très bon roman policier. Christian Jacq nous promène de déductions en analyses pour mieux nous piéger.
@lireetlivres
Grand moment de plaisir.
Un tueur en série sévit dans les rues. Le superintendant Marlow fait appel à l'ex inspecteur chef Higgins pour mener l'enquête. Cette fois, il doit travailler avec une jeune profileuse que la direction leur a imposé.
Higgins détricote le fil de cette intrigue avec toute la finesse qu'on lui connait. De pistes en contre pistes, l'affaire ne manque pas de rebondissements.
Un volume à la fois original, plus moderne, mais bien dans la lignée des précédents aussi.
Original et actuel puisque l'auteur y introduit un personnage de profiler, profileuse plus précisément, avec laquelle Higgins, toujours charmeur, va savoir s'entendre malgré un accueil assez peu avenant.
Original aussi par son rythme, et même plein de suspens. Rien à voir avec les "cinq dernières minutes" où on découvre avec l'enquêteur qui et pourquoi, après une enquête rigoureuse.
Ici, dès la moitié du livre, le coupable semble découvert, et puis, on va de surprises en surprises.
Dans la lignée des précédents car on a toujours le personnage de Higgins fidèle à lui-même, qui attend la pluie avec impatience et ne supporte pas le moindre beau temps. D'où un comique souvent assez prononcé sur de simples petites phrases. Ses difficultés à fuir le thé, et son amours des chats bien sûr. Face au Superintendant Scott Marlow, aux réactions un peu primaires mais si plein d'amour de son métier et de sa reine qu'on ne peut lui en vouloir.
Le début m'a paru un peu lent avec pas mal de répétitions, dues au thème, puisque meurtres en séries, et aussi à l'enquête dans divers magasins. Mais ensuite, les divers rebondissements, et le duo de l'avocate et de la médecin m'ont entraînée à toute vitesse !
L'auteur (l'éditeur ?) ne nous facilite pas rangements et logique en ayant fait paraître les premiers opus de cette série sous le pseudonyme de J.B. Livingstone, pseudo abandonné depuis quelques années au profit de sa vraie signature !
Ah, j'allais oublier la couverture : le profil semble rappeler fortement celui d'Alfred Hitchcock tel qu'il apparaît souvent, non ?
Quatrième livre de cette série que je lis et qui m'a le plus accroché. Il y a du suspens jusqu'au bout.
Comme les autres tomes, on a l'impression que c'est intemporel, histoire qu'on pourrait transposer à différentes époques. Et comme les autres et plus en général comme tous les Christian Jacq, facile et plaisant à lire.
Pfiou...
J'aimé beaucoup aimé Christian JACQ dans ses romans historiques. J'ai appris plein de choses sur l'égyptologie grâce à lui, il y a longtemps. Je me suis passionnée pour la série de Ramsès.
Mais là... Je n'ai pas du tout croché. Mais pas du tout. Ce n'est pas franchement mauvais, ce serait mentir. Mais je n'ai pas adhéré au style. Cette rigidité bourgeoise anglaise typique, comme un mauvais cliché, qui transpire à chaque page. J'ai même eu l'impression de voir passer le service à thé... J'ai eu un mal de chien à aller au bout, au point de ne même pas être certaine de savoir quoi penser de l'intrigue en elle-même.
Une déception.
Grande fan de Christian Jacq, j'avais un peu peur de voir "mon" auteur dans un autre domaine que l' Egypte. Et? je suis loin d'être déçue je dirais même qu'au contraire, moi qui n'aime pas spécialement les polars, j'ai adoré.
Une enquête d'une grand classicisme, mais très bien ficelée et prenante du début à la fin.
Un tueur en série se balade dans les rues avec l'ancien inspecteur-chef Higgins, sorti de sa paisible retraite, et Scotland tard sur ses traces. Tout au long des pages le profil de notre tueur se dessine peu à peu grâce aux indices qu'il ne cesse de laisser. Malgré tout il restera à incessissable et mettra à rude épreuve les talents de nos comparses.
Je connaissais Christian Jacq pour ses livres traitant de l'Égypte. J'apprécie ça manière d'écrire et de conter les histoires qui nous fascine. J'ai eu l'opportunité de découvrir une autre facette de cet auteur. Même si on ne retrouve pas la prose à laquelle il nous a habitué, la lecture de ce roman policier reste plaissante. Les chapitres sont courts, l'histoire facile à suivre. Les protagonistes sont rapidement présentés et ne sont pas trop nombreux.
C'est un bon livre pour un entre-deux sans prise de tête. Si je devais le comparer à une référence connue, ça serait Hercule Poirot d'Agatha Christie. Ce n'est pas un livre à suspense. Gros amateurs de suspense vous risqueriez d'être déçus.
L'inspecteur Higgins profite de sa retraite à la campagne, lorsque l'un de ses amis, le superintendant Scott Marlow, vient l'appeler à la rescousse. Un psychopathe sévit dans les rues de Londres et personne n'arrive à l'arrêter. Higgins accepte de venir en aide à Scotland Yard, car il place la recherche de la vérité avant tout. Très vite, un suspect est arrêté. Mais est-ce vraiment lui le coupable ? Comment en être sûr alors que tout s'emmêle et tout le monde semble devenir suspect ? L'inspecteur Higgins doit alors tout mettre en oeuvre pour démêler le vrai du faux.
Pour cela, pas d'ordinateur ultra-perfectionné, d'algorithmes ou autres nouvelles technologies. Non, l'inspecteur Higgins, il est plutôt de la vieille école : il préfère prendre des notes dans un petit carnet noir et faire travailler ses méninges et son intuition. Pas facile dès lors de s'associer à Angola Kingsley, une profileuse adepte des méthodes modernes et qui voit l'arrivée de l'inspecteur Higgins comme une menace pour son avancement. Heureusement, celui-ci est calme, lucide et surtout très diplomate. Il ne souhaite qu'une chose : arrêter le monstre qui rôde dans les rues et n'a que faire des louanges.
Christian Jacq nous offre ici un bon roman policier plein de suspens, jusqu'à une fin grandiose et surprenante. Les chapitres courts et les phrases simples, allant à l'essentiel, donnent à l'ensemble un rythme intense qui fait qu'il est impossible de lâcher le roman avant d'avoir lu la dernière page.
J'ai lu pas mal de roman sur l'Egypte de Christian Jacq et je me réjouissais de lire celui ci, qui sortant de son univers me tentais quand même.
J'ai adoré une écriture souple fluide une intrigue bien mené, un inspecteur chef "higgins" très attachant.
Je recommande ce livre, ce lit d'une traite ;-)
Je dois avouer que j'avais un peu peur en ouvrant ce livre; attention, je suis une amatrice des romans de Christian Jacq depuis des années mais la peur des mélanges de genre me lassait loin de ses romans policiers et pourtant! Quelle belle surprise que ce roman, cours, bien ficelé, avec des références égyptologiques (il ne sait pas rester bien loin de sa passion et de son métier!) mais de belles surprises, même si j'avais identifié le coupable (je suis une lectrice assidue de romans de ce genre), l'écriture est tellement bien arrangée que l'on ne peut que dévorer ce bouquin. Je le recommande donc vivement aux fans de l'auteur et aux autres aussi.
Bonne lecture!
haletant, perturbant et tres surprenant!
Le Profil de l'assassin est le premier volumes des enquêtes de l'inspecteur Higgins qui ne soit pas une reprise d'un ancien volume. D'ailleurs très vite, la présence d'une profiteuse nous plonge dans les années 2000 et donne à l'inspecteur Higgins une autre approche de travail que celles auxquelles a l'habitude de procéder. Mais les bonnes habitudes ne se perdent pas facilement et petit carnet noir dans lequel il note ses réflexions, à l'aide d'un crayon Staedler Tradition B, ne le quitte pas pour autant. La modernité de cette enquête viendra-t-elle à bout des traditions ? Rien n'est moins sûr...
Ce policier de Christian Jacq est une bonne surprise. On connaît plus l'écrivain pour ces romans historiques mais son incursion dans le roman policier est une réussite.
On suit l'enquête de Higgins sur les meurtres en série de jeunes femmes ayant toutes le même profil : brune, célibataire et bosseuse. Sur chaque victime sont laissés certains éléments : un mouchoir de lin, un chaussette orange, une bouteille de lait d'une marque très précise, un lapis-lazuli, une rose et une tulipe en soie. Quand le superintendant Marlow de Scotland Yard demande l'aide d'Higgins , inspecteur-chef à la retraite, ce dernier n'hésite pas une seconde. Ils sont aidés par une jeune profileuse : Angota Kingsley. Après une enquête menée sur la provenance des objets retrouvés sur les victimes et les analyses de la profileuse, nos trois enquêteurs pensent avoir trouvé l'assassin. L'enquête serait vite bouclée si l'homme en garde à vue n'avait pas une avocate et une psychiatre prête à tout pour le disculper.
Un très bon policier, bien ficelé avec un prétendant au titre de meurtrier tout désigné mais entouré de compagnons servant d'alibi incontestable à moins que....
On se retrouve face à une enquête qui rappelle celles écrites par Agatha Christie. Un bon suspens, des déductions... le tout bien rythmé grâce à des chapitres très courts. On ne s'ennuie pas une seconde.
Je continuerai ma lecture des enquêtes de l'inspecteur Higgins grâce aux différents titres qui sont déjà sortis et ceux qui vont paraître.