La Reine Soleil : l'aimée de Toutânkhamon
Résumé :
ans la Cité du Soleil brûlent les derniers feux du règne d'Akhénaton et de Néfertiti. L'égypte est au bord du gouffre et s'inquiète : qui succèdera à ces souverains exceptionnels ? Les regards se tournent vers Akhésa, troisième fille du couple royal, à l'extraordinaire beauté, déterminée à poursuivre l'oeuvre de paix de son père. Tous les obstacles tombent devant sa volonté farouche et son sens inné du pouvoir : Akhésa a le profil d'une reine. Elle montera sur le trône aux côtés d'un jeune homme follement amoureux, le célèbre Toutankhamon. La destinée de l'Empire égyptien est entre les mains de ces deux adolescents. Admirés mais isolés, sauront-ils préserver l'Empire et braver le puissant général Horemhed, éminence grise du pouvoir qui rêve d'être pharaon ?
Commentaires sur l'ouvrage (25)
Les noms des pharaons Akhénaton et Toutankhamon ne nous sont pas inconnus, mais qui avait déjà entendu parler d'Ânkhésenpaaton (que Christian Jacq nomme Akhésa dans ce roman) ? Nous la suivons depuis son adolescence jusqu'à ses dernières heures, nous rencontrons les grands personnages de l'Egypte antique à travers ses yeux et bénéficions de ses réflexions sur la politique de son pays. Akhésa, troisième fille d'Akhénaton et épouse de Toutankhamon, est réellement au centre de cette histoire.
Je ne me suis jamais passionnée pour l'égyptologie et c'est pourtant un sujet qui m'intéresse. Dans ce roman, il y a énormément de détails sur les us et coutumes des Égyptiens, leurs croyances, leurs traditions, leurs coutumes, leurs relations avec les pays voisins, le climat politique, etc. Ma curiosité a donc été satisfaite. Je suis moins touchée par le côté romanesque, bien qu'il y ait du suspense et des péripéties (en tout cas pour les lecteurs qui ne connaissent pas les pharaons). Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, ils sont pourtant intéressants mais pas assez creusés à mon goût. Akhésa tient plus de la légende que de la femme en chair et en os : avec sa beauté incomparable, sa vivacité d'esprit et sa force de caractère, les hommes tombent amoureux d'elle toutes les dix pages
"La Reine Soleil : L'aimée de Toutankhamon" raconte de manière très romancée l'histoire du règne de Toutankhamon, et surtout de sa reine Akhésa (Ankhesenpaaton de son vrai nom, modifié ici pour la commodité de la lecture). Toutankhamon est sans doute l'un des pharaons les plus connus, alors qu'il n'a régné que peu de temps, puisque mort à dix-huit ou dix-neuf ans. D'après les dernières recherches génétiques, il serait le fils d'Akhenaton (et de la sœur de ce dernier), à qui il a succédé au trône à sa mort. La tradition voulant que le futur pharaon épouse la femme du défunt pharaon pour accéder au trône, Toutankhamon a donc épousé Ankhesenpaaton, troisième fille d'Akhenaton, que ce dernier avait épousé... Vous suivez ? Toutankhamon a en fait épousé sa sœur... Je viens tout juste de réaliser où George R.R. Martin a puisé son inspiration pour la famille Targaryen !
Mais le livre de Christian Jacq ayant été publié en 1988, on n'en parle pas, pas comme ça en tout cas. Toutankhamon, dans le roman, est un des derniers fils d'Amenhotep III, qui est également le père d'Akhenaton (mais qui n'ont visiblement pas la même mère). Et si Akhenaton épouse bien Akhésa à la fin de son règne, c'est uniquement symbolique, pour remplacer l'image de sa mère (Néfertiti), la tradition voulant que ce soit un couple qui soit à la tête du royaume.
L'histoire débute alors qu'Akhésa a quatorze ans et que Toutankhamon (Toutankhaton au commencement de l'histoire) en a douze. Néfertiti, pour une raison inconnue, s'est éloignée de son pharaon, elle ne sort plus de son palais et refuse toute visite. Akhenaton règne seul, et le royaume part à la dérive... Akhésa a toutes les ressources requises pour être reine, mais n'étant que la troisième fille, c'est sa sœur aînée qui est pré-disposée pour succéder à leur mère. Un évènement en entraînant un autre, elle finira malgré tout à atteindre son objectif, celui d'être reine. La politique et tout le toutim n'intéressant pas son nouveau pharaon, car trop jeune et peu préparé, Akhésa prendra donc les rênes, en même temps qu'elle poussera son mari à s'intéresser et à s'investir pour son royaume.
J'ai donc été téléportée dans cette Égypte antique que je n'avais plus lu depuis trop longtemps, dans la Cité du Soleil d'abord (Armana), puis à Thèbes. Je me suis retrouvée au cœur de complots politiques et religieux fascinants. J'ai également appris énormément, tant sur les modes de vie, les croyances et les rituels que sur la fabrication des feuilles de papyrus ou les procédés de momification par exemple.
L'auteur a su dépeindre cette Égypte de l'époque (environ 1300 avant J.C), avec précision, et avec de superbes descriptions. C'est un poil long à se mettre en place, juste le temps qu'il faut à l'auteur pour planter ses décors et y incorporer ses (nombreux) personnages. Mais une fois l'intrigue (les intrigues ?) bien mise en place, on ne voit plus le temps passer tellement on y est, sous ce soleil égyptien tant vénéré.
Quant aux personnages, ils sont nombreux mais l'auteur fait souvent des rappels les concernant. On les intègre donc bien, et on est en rien gêné dans la compréhension et la continuité de l'histoire. Certains marquent évidemment plus que d'autres, on apprend à les apprécier (ou pas). L'histoire met en avant Akhésa, jeune fille au caractère bien affirmé et à la volonté inflexible, pleine d'énergie et de prestance, à la fois fougueuse, ambitieuse, déterminée, sauvage, indomptable, perspicace et intelligente. J'ai adoré suivre son ascension au trône, la voir réaliser son objectif en même temps qu'elle se rend compte que de diriger le pays le plus puissant n'est pas une mince affaire. J'ai adoré la voir déjouer les complots et les trahisons, la voir conspirer à son tour, la voir s'attacher de plus en plus à son Toutankhamon. Toutankhamon est également un personnage attachant, j'ai beaucoup aimé l'intégrité et la loyauté de Maya, la sagesse du divin père Aÿ, les manigances d'un Horemheb rejeté par la femme qui l'aime, etc... Un panel de personnages hauts en couleur et énigmatiques, qu'on aime à suivre.
L'intrigue, quant à elle, est passionnante et ne manque pas d'approfondissement. Politique, religion et mythologie sont les thèmes abordés à travers les divers complots, manigances, trahisons que les différents protagonistes doivent déjouer. Il y est évidemment question de pouvoir et d'ambition, autant que d'amour et de mort. L'auteur connaît son sujet. Sa plume, plaisante et précise, a su m'embarquer rapidement.
Un très bon moment de lecture.
Plongez dans un récit captivant autour du règne de Toutankhamon, Pharaon de l'Egypte antique, au travers du regard d'Akhésa, son épouse royale, fille d'Akhénaton. Le style est simple (c'est une qualité) et les descriptions sont précises. J'ai eu l'impression d'y être. J'ai un penchant pour les romans historiques car ils sont meilleurs que l'école pour enseigner l'Histoire (à condition de savoir démêler le vrai du faux et la part de fiction ajoutée par l'auteur, bien entendu).
Je pourrais résumer ce roman par : grandeur et décadence d'une reine. Encore un Christian Jacq vite et bien lu. J'ai tout de même trouvé ce roman un peu en dessous de tout ce qu'il a pu écrire. L'histoire est bien évidemment intéressante mais j'y ai trouvé quelques longueurs, notemment dans les descriptions des rituels.
Le positif réside dans les intrigues alambiquées des uns et des autres. Au fil des pages on se demande quel coup tordu va sortir du chapeau. C'est ce qui fait que les pages se tournent vite.
Quelqu'un de mon entourage m'avait toujours grandement conseillé de découvrir Christian Jacq. Etant passionnée par tout ce qui est histoire, notamment en ce qui concerne l'Egypte, j'étais doublement curieuse de découvrir un livre de cet auteur. Mon choix s'est porté sur la Reine Soleil et je ne regrette absolument pas.
Tout d'abord, je tiens à souligner que le style d'écriture de l'auteur est remarquable, tant il rend l'histoire immersive et captivante. Malgré le nombre d'informations que contenaient les pages, je les parcourais avec avidité et facilité. J'étais réellement captivée, de bout en bout, sans avoir l'impression que le rythme s'essoufflait ou qu'il y ait des passages moins intéressants. J'ai vraiment adoré découvrir cette histoire avec une plume pareille.
Autre point que j'ai énormément apprécié, c'est bien le personnage d'Akhésa (quel prénom!). C'est un bel hommage à la personne qu'elle était. On découvre tant de personnages mythiques célèbres, tels qu'Akhénaton ou encore Toutankhaton. Pour avoir été bercée par les histoires sur les pharaons pendant mon enfance, j'ai été ravie de découvrir tous ces personnages hauts en couleur. Akhésa n'a pas froid aux yeux et reste digne jusqu'à la fin. J'ai été impressionnée par sa force et sa détermination. J'ai été plus que ravie de découvrir son personnage. Au-delà de ça, c'est tout un pan de l'histoire que l'on découvre : notamment la révolution engendrée par Akhénaton, avec son dieu, ou encore ce qui suit sa mort. On suit cette histoire avec intérêt, entremêlée de complots, de relations complexes, … En un mot, ce livre était passionnant.
J'ai énormément apprécié cette lecture, que ce soit au niveau des personnages ou de l'histoire en elle-même, qui est absolument passionnante. Je ne regrette pas d'avoir découvert cet auteur et il me tarde de découvrir d'autres œuvres de celui-ci.
j'ai beaucoup aimer ,j'ai le dvd de l'anime j'ai la version du roman jeunesse et cette version, j'adore quand ça parle de Toutankhamon, mais la de parlé enfin un peu de ça femme Akhésa c'est assez rare,j'ai beaucoup aimer ce personnage qu'il a décidée de crée sur elle, j'aimerai tellement qu'ont trouve plus de chose sur elle dans le futur :)
Ce livre traînait dans ma PAL depuis de nombreuses années et il a fallu un challenge pour l'en sortir.
Ma lecture a été assez laborieuse puisque ce livre ne m'attirait pas plus que ça. Pourtant, la plume est agréable mais j'ai trouvé certains personnages trop caricaturaux et sans consistance. Ainsi, Toutankhamon apparaît comme un jeune homme frêle sans réelle volonté, à part celle de plaire à sa jeune épouse. Certaines études scientifiques ont pourtant laissé suggérer que Toutankhamon avait mené lui-même certaines batailles malgré son handicap.
Hormis ce bémol, j'ai trouvé l'histoire intéressante et le personnage d'Akhésa, fille d'Akhénaton et Néfertiti, plutôt bien campé. C'est une femme forte qui n'hésite pas à se dresser contre les hommes de pouvoir pour le bien de l'Egypte.
Ce roman égyptien décrit parfaitement la rupture entre modernisme et conservatisme dans l'empire des pharaons. Akhenaton, roi révolutionnaire et réformateur , à profondément marqué toute une génération du monde antique lors de son règne. De la représentation artistique à la religion elle-même, Akhenaton pulvérise les standards jusque renommer le dieu soleil Aton au lieu de Amon, bouleversant le culte à la lisière du monothéisme. Ce livre a donc mis en lumière pour ma part la stylistique différente entre les représentations artistiques, avec les traits tout en longueur, plus fins, plus étirés en comparaison aux rondeurs habituelles, un style reconnaissable entre tous. Le célèbre Toutankhamon initialement Toutoukaton, ceci explique cela.
Un de mes Christian Jacq préféré, dommage qu'il n'y ait que un tome.
Un merveilleux voyage dans une lointaine Histoire qui nous emmène sur les pas d'une des filles d'Akhénaton, le pharaon qui fut par la suite considéré comme un hérétique pour avoir introduit le culte du dieu unique, Aton.
On prend toujours un immense plaisir à découvrir le récit tout en apprenant ce que fut la grande Histoire des dynasties de pharaons qui dirigèrent l'Egypte durant des millénaires.
Je crois que j'avais déjà lu ce livre, il y a une dizaine d'années. Mais je n'en suis pas très sûre, j'ai lu tellement de Christian Jacq à une période… Certains passages me donnaient une impression de déjà lu, tandis que l'intrigue générale, par contre, ne me disait rien. Alors du coup, je ne sais plus !Mais en tout cas, si je n'avais pas encore lu celui-ci, c'est désormais chose faite.
Il y a une chose que j'apprécie beaucoup dans les livres de Christian Jacq, c'est l'Egypte. Depuis longtemps j'adore la civilisation égyptienne antique, à tel point que j'avais fait un dossier de 4ème à ce sujet (le thème c'était de parler d'une de ses passions, ça vous laisse entrevoir à quel point j'aime l'Egypte antique !), et j'ai même, durant quelques années, songé à devenir égyptologue. J'ai commencé à apprendre les hiéroglyphes à la fac, j'ai suivi des cours d'Egyptologie… Bref, J'aime l'Egypte ! Et ça tombe bien, parce que tous les romans de Christian Jacq que j'ai lus jusqu'à présents se passent dans l'Egypte antique.
Ici, nous suivons le destin de la jeune Akhésa, totale inconnue pour moi jusqu'à présent, fille du roi Akhénaton et de la reine Néfertiti, puis plus tard épouse de Toutankhamon, trois personnages dont j'avais en revanche déjà entendu parler. Christian nous livre ainsi une histoire romancée d'une période assez précise de l'histoire égyptienne, pour mon plus grand bonheur.
Sans aucune surprise, j'ai aimé le contexte. J'ai apprécié Akhésa et Toutankhamon. Mais l'intrigue, en revanche, m'a quelque peu déçue. Du début à la fin, nous suivons Akhésa, nous la voyons évoluer, devenir reine. Nous découvrons une jeune femme forte, dotée d'une volonté de fer, une reine dans l'âme, bien décidée à sauver sa vision de l'Egypte, mais également tellement jeune et inexpérimentée. Je me suis attachée à elle, j'avais envie de la voir réussir tout en entrevoyant une fin qui ne lui serait pas favorable. Nous la voyons se débattre avec les rouages de l'administration et du pouvoir, combattre d'autres hommes plus expérimentés, plus forts, plus puissants qu'elle. Du début à la fin, tout n'est qu'intrigue et jeux de pouvoir.
Malgré tout, il m'a manqué quelque chose pour que ce roman me captive parfaitement. L'ensemble m'a semblé assez plat. Je pense que ça manquait un peu de surprises. Alors certes, vous me direz, l'histoire est déjà écrite, on ne peut pas la modifier. Mais pour moi qui ne connaissait pas Akhésa avant, qui n'avait que de très vagues notions sur cette époque, j'aurais pu être surprise par le déroulement de l'Histoire. Mais le fait d'entrevoir dès le début la fin qui allait advenir m'a certainement un peu gâché le plaisir. Je ne saurais pas comment vous dire que je le savais, mais je sentais clairement que le combat d'Akhésa était un combat perdu d'avance.
Je gardais un meilleur souvenir des romans de Christian Jacq que j'ai déjà pu lire par le passé. Mais peut-être n'est-ce pas son meilleur roman ? (de mon point de vue, du moins).
J'adore cette époque de l'Égypte. J'ai déjà lu beaucoup du livre sur le sujet et sur ce moment de l'histoire.
Mais là, je me suis ennuyée, pas un seul des personnages ne m'a attendris.
Tous ne pensent qu'à arriver au somment sans penser aux sentiments des autres. Le pouvoir corrompe tout et c'est bien vrai.
Manipulations, intrigues, Entre Toutankhamon décrit comme un irresponsable, Horemheb un menteur.
Non, je préfère même oublié que j'ai lu ce livre.
A la place 145 de ma pal depuis le 1er Février 2018 - 3éme livre du challenge #nothrillerindecember et pour la lecture commune de Christian Jacq - J'ai choisis La reine soleil, l'aimée de Toutankhamon, il as reçu le prix Jean d'Heurs du roman historique de l'année 1989. J'ai une fascination pour ce pharaon, donc découvrir encore de nouvelles sur lui, cela m'intéresse beaucoup
Aknesa et Toutankhamon se sont croisés très jeunes, Il est tombé fou amoureux de la troisième fille du pharaon Akhénaton. Ils se sont retrouvés au pouvoir, ils étaient adolescents.
Cette reine a emmené très vite Toutankhamon sur le chemin du pouvoir pour diriger l'Egypte. Lui qui penser que profiter de la vie avec la femme qui m'aimes.
Je ne connaissais pas l'histoire de la reine Akhésa, très jeune, elle s'intéressait beaucoup à la politique de son pays, mais comme elle était la troisième fille du pharaon, elle savait que normalement elle ne doit pas régner.
Mais selon des circonstances exceptionnelles, elle accéda au trône auprès de Toutankhamon, mais il était très jeune et pensa qu'à s'amuser, mais Akhésa, avec leur amour puissant, arriveras à faire murir son mari de Pharaon.
Ce qui est intéressant dans ce livre, c'est de voir de Pharaon évoluer pour plaire à sa belle, et a un moment on ressent qu'il prend un réel plaisir à gouverner.
On comprend aisément que derrière toutes décisions il y a Akhésa.
Il y a beaucoup de rebondissements dans la vie de ce jeune couple, des autres personnages du royaume veulent absolument prendre leur place.
Ce livre est extrait de la vie réel d'Akhésa et ce qu'on en sait, on est très vite embarqué en Egypte au temps des Pharaons, j'ai lu beaucoup de livres de cet auteur, et à chaque fois, il m'enchante, c'est vraiment une parenthèse enchantée.
Bon la vie au temps des pharaons, et pas que fait d'enchantement, il y a beaucoup d'épreuves, de combats. Mais l'univers est royal et féérique, je suis toujours sous le charme.
Je suis une passionnée d'Egyptologie, c'est pour une raison que ces livres me plaisent toujours, j'ai une fascination extrême pour Toutankhamon, alors découvrir son amour, j'étais extrêmement captiver.
Mais ce que j'ai apprécier et ce qui guide toute la trame, c'est leur amour, mais plus particulièrement les sentiments profonds de la Reine et comment cela évolue et même après sa mort.
Elle lui a était loyal jusqu'au bout de sa vie, j'ai trouvé cela admirable et tellement émouvant.
Je me dit que je devrais lire plus les ouvrages de Christian Jacq, car ce sont vraiment des joyaux comme ce qui raconte.
J'avoue qu'avant de lire ce magnifique roman, il y a quelques années, je ne connaissais pas Akhésa. Maintenant, grâce à Christian Jacq, je peux la situer et j'ai découvert une femme forte et une princesse ayant du caractère.
Mon premier Christian Jacq, j'avais adoré découvrir la vie romancée de la femme de Toutankhamon. J'avais beaucoup aimé sa liberté d'action et de pensée, ainsi que le drame de ses aventures ou plutôt de sa vie. Une vraie fresque historique !
Comme tous les mois, avec les membres de mon club de lecture, nous lisons un livre en commun. En ce mois d'octobre, nous avons opté pour un auteur que nous ne connaissions pas mais qui rencontre beaucoup de succès : Christian Jacq. Compte tenu de son immense bibliographie, nous avons procédé à un tirage au sort pour déterminer le livre que nous lirions. Le sort a décidé que ce serait La Reine Soleil.
Après de longues heures de lecture fastidieuses, je suis enfin arrivée au bout de ce roman. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Malgré mon acharnement, je n'ai pas réussi à me plonger dans l'univers de l'Egypte antique à la grande époque des pharaons.
De nombreuses descriptions et beaucoup de menus détails alourdissent incontestablement la lecture. J'avoue que je me suis perdue dans tous les personnages, leurs rôles, leurs fonctions... De plus, j'ai trouvé que certaines transitions n'étaient pas toujours très claires. L'évolution dans le temps m'a aussi semblé floue. Ce n'est que sur la moitié du livre que j'ai compris que plusieurs années s'étaient écoulées depuis le point de départ de l'histoire alors que j'avais le sentiment que cela ne faisait que quelques mois.
Le roman reste très fidèle à l'Histoire. Après avoir consulté les pages Wikipédia pour voir si le roman était une pure fiction ou basée sur des faits réels, j'ai pu me rendre compte que tout ce que décrit Christian Jacq dans ce roman relève de la réalité. Mais pour autant, cela ne m'a pas aidé à accrocher au texte. Je me serai contentée de la lecture de la plus célèbre encyclopédie en ligne, j'en serai arrivée au même résultat. En bref, l'histoire ne m'a pas transporté du tout. Je suis restée complètement insensible au texte. Seul point positif dans ce roman, c'est le personnage d'Akhésa, la Reine Soleil. Elle fait preuve de beaucoup de force de caractère. En plus d'être belle, elle est maligne, intelligente, déterminée. Malgré les pressions subies de part et d'autre, elle n'abandonne pas. Je suis assez admirative de ce personnage. Le couple Akhésa/Toutankhamon m'a également plu. Malgré les responsabilités qui leur incombent, ils réussissent à garder une petite part d'innocence. J'ai aimé les passages où ils se retrouvent ensemble et où ils font abstraction de leur statut.
Paradoxalement, alors que toute l'histoire m'a paru sans fin, j'ai trouvé que le dénouement était un peu rapide.
En bref, malgré quelques moments plaisants, j'ai plutôt vécu cette lecture comme un calvaire que comme un plaisir.
Beaucoup de lecteurs ont entendu parler de Toutankhamon et de Néfertiti.
Nous voici avec ce roman, plongés dans l'Egypte ancienne.
Akhésa, fille d'Akhénaton et de Néfertiti deviendra reine et épousera Toutankhamon. Une bien jolie histoire qui finira tristement. Rappelons que Christian Jack est égyptologue et que son roman repose sur des faits historiques.
Alors que sa mère Néfertiti reste cloîtrée dans son palais, et que son père Akhénaton s'isole de son peuple pour communier avec Aton le dieu solaire, Akhésa, troisième fille de Pharaon décide de prendre sa vie en main. Rebelle sans être révoltée, elle qui vénère ses parents, exhorte ce dernier à reprendre contact avec ses sujets. Elle craint par-dessus tout de voir l'Égypte s'étioler et devenir la proie de ses ennemis Hittites massés à la frontière. Mais une rencontre primordiale va décider à sa place de son avenir, celle d'un jeune homme frêle et timide : Toutankhaton. Ou, plutôt celui qui va devenir le plus célèbre des pharaons à l'ère moderne sous le nom de Toutankhamon...
Depuis très longtemps j'avais envie de relire ce roman de Christian Jacq, voilà chose faite !
Inspiré de textes avérés sous forme de papyrus ou de hiéroglyphes gravés, cette biographie romancée de Ânkhésenpaaton, la Reine Soleil, est un véritable témoignage sur l'Égypte de la XVIIIe dynastie. Alors que son coeur bat pour le général Horemheb, elle sera vite fascinée par Toutankhamon dont elle deviendra l'épouse avant de monter sur le trône d'Égypte.
Christian Jacq, écrivain et égyptologue, dont le roman date de 1988, sait avec un talent consommé retracer la vie des habitants de la civilisation la plus importante de l'antiquité. Que ce soit au sein des palais royaux ou au coeur des marchés de Thèbes, la capitale de l'époque, on voit se dérouler un véritable documentaire, comme s'il avait été filmé sur le vif. Les bases historiques étant posées, le cadre social connu, l'auteur se livre à un exercice de style particulièrement pointu quand il imagine le déroulement de la vie de cette toute jeune femme au destin flamboyant mais tellement court, dont l'histoire n'aura gardé fatalement que peu de traces. Héritière d'Aménophis IV - ou Akhénaton le pharaon hérétique - elle aura dû composer avec les ambitions de sa soeur Méritaton qui se voit sur le trône d'Égypte, du général Horhemeb qui hésite à qui être fidèle tout en gardant la vision militaire de son poste, et surtout du clergé d'Amon soucieux de ses prérogatives et de ses acquis, et qui la soupçonne d'être restée fidèle au dieu soleil Aton qu'adore son père.
Avec près de 600 pages dans sa version poche, ce récit saura capter le plaisir de tous les amoureux d'Égypte, et celui des fidèles de Christian Jacq qui n'ont pas encore découvert cette belle et tragique histoire.
En s'inspirant d'un fait historique réel -une lettre écrite par la reine Akhésa à l'empereur Hittite- Christian Jacq a donné vie à un personnage méconnu de l'Egypte pharaonique, la reine Akhésa.
Fille d'Akhénaton, le pharaon hérétique et de Nefertiti, reine dont la beauté est passée à la postérité grâce à un certain buste, Akhésa a épousé un prince dont la célébrité posthume sera due à la découverte de son tombeau: Toutankhamon.
Christian Jacq fait de cette jeune reine mystérieuse un authentique personnage de tragédie, en s'appuyant sur son goût pour le pouvoir, sa capacité à l'exercer et une attirance puissante pour son ennemi politique juré, le général Horemheb.
Akhenaton a été l'un des plus célèbres pharaons de l'Egypte ancienne. Rompant avec les anciens dieux, il lance une religion nouvelle, prototype de monothéisme, et fonde avec son épouse Néfertiti une ville nouvelle à la gloire d'Aton, le disque solaire divin. Le clergé de l'ancienne foi, soutenu par une grande partie de la population, voue cette cité aux gémonies.
C'est dans ce contexte qu'Akhesa, troisième fille du roi - et donc troisième dans l'ordre de succession – fait preuve d'une personnalité et d'une intelligence digne d'une reine. Elle s'approche peu à peu du trône, d'abord en assistant son père dans les rites sacrés, puis en en épousant Toutankhaton, qui deviendra Toutankhamon, l'enfant-roi.
Ensemble, ils forment un couple royal uni et amoureux, mais encore très naïf, et si peu maître de leur destin, car dans l'ombre le général Horemheb tente de prendre les rênes du pouvoir et le coeur de la jeune Akhesa.
Certes, l'histoire est très romancée, mais dans tous ses livres Christian Jacq se base sur des faits avérés.
Il y a bien longtemps que je n'avais pas ouvert un livre de Christian Jacq et j'y ai retrouvé intact le plaisir de ce voyage dans le temps dans un pays qui m'a toujours fait rêver par les mystères qui l'entourent.
Au niveau de l'écriture et des rythmes du récit, j'ai beaucoup aimé les nombreuses descriptions de la vie quotidienne et des rites sacré.
Cette jeune femme qui n'était pas destinée à régner et qui a pourtant tout fait pour comprendre la politique de l'Egypte pour suivre les traces de son père, le Pharaon maudit. Par un concours de circonstances, après la mort de sa seconde soeur et la disgrâce de la première, elle montera sur le trône d'Egypte auprès de Toutankhaton, rebaptisé Toutankhamon par les prêtres d'Amon, et ne cessera jamais de se battre pour faire triompher l'Egypte et la gloire d'Aton, le dieu unique de son père
Le règne du pharaon renégat, Akhenaton (en français : " celui qui rayonne pour Aton "), est sur le déclin. Sa femme, la belle et célèbre Néfertiti (" la belle est venue "), refuse de le revoir, il s'est enfermé chez lui depuis plusieurs jours pour écrire un long poème sur la splendeur de son dieu, ses hommes de confiance complotent contre lui et les colonies de l'Égypte se révoltent contre ce pays dont la puissance s'affaiblit.
Reniant les croyances millénaires de son peuple, il a apporté de nombreux changements, aussi bien dans la religion que dans l'art : de nombreuses fresques dépeignent la vie du monarque dans le cadre familial en train de jouer avec ses filles ou d'embrasser sa femme et l'architecture évolue (le concept étant de faire en sorte que les rayons d'Aton puissent entrer à l'intérieur des bâtiments).
Mais rien ne semble permettre à l'évolution des moeurs de persister. Chacun est conscient qu'une fois Pharaon mort, les Égyptiens abandonneront Aton pour retourner à leurs anciennes divinités. Thèbes redeviendra la capitale et Akhetaton, la cité de la lumière, sera abandonnée au sable et au désert. Tel semble être le destin de la culture qu'a voulu transmettre ce roi moderne.
Mais Akhésa (de son vrai nom Ankhes-en-pa-Aton : " elle vit pour Aton ") ne l'entend pas de cette oreille. Bien que troisième fille du couple royal (et donc incapable de prétendre à la couronne), elle a bien l'intention d'avoir un rôle à jouer sur la scène politique. Petit à petit, à l'aide de sa superbe beauté et de son intelligence hors du commun, elle arrive à se faire une place parmi les plus grands et fascine ses amis comme ses ennemis. À la mort de son père, elle réussira à monter sur le trône aux côtés de Toutankhamon, le jeune prince de Thèbes fou amoureux d'elle, et prendra son destin en main comme une véritable reine.
L'intérêt de ce livre est qu'il nous dévoile les enjeux politiques du temps de l'Égypte ancienne. Avec Akhésa, on est transporté en plein coeur de l'action. On y voit ses évolutions, son passage de l'enfance vers l'âge adulte, les responsabilités qu'elle est peu à peu amenée à prendre. Ses sentiments évoluent : tout d'abord méprisante à l'égard du jeune Toutankhamon, elle en vient à peu à peu éprouver une tendresse presque maternelle pour cet époux de deux ans son cadet. En parallèle, elle doit lutter contre l'attirance profonde qu'elle ressent envers son opposant le plus acharné et manipuler les puissants du royaume pour parvenir à ses fins : rendre à l'Égypte sa splendeur d'antan. Mais la tâche est extrêmement difficile : les prêtres d'Amon sont prêts à tout pour reprendre leur place.
La pression exercée sur la jeune femme est énorme : d'un côté elle est incapable de renoncer au rêve de son père d'" apporter la lumière d'Aton dans les coeurs ", de l'autre, elle n'a pas la force nécessaire pour lutter contre les prêtres et doit sans cesse se cantonner à son rôle de reine. Car malheureusement, Toutankhamon est encore un enfant trop immature pour régner et c'est celle qu'il aime qui est obligée de gérer les affaires à sa place. Elle doit se sacrifier sans cesse, déjouer des complots et en créer, entretenir son image publique, contrôler ses ennemis comme ses proches, lutter contre la part d'elle-même qui ne voudrait que devenir l'amante du général des armées.
La jeune femme voit tout ce à quoi elle tient s'écrouler autour d'elle : sa mère meurt, puis son père, puis elle doit abandonner sa religion, puis la capitale qu'a fait bâtir Akhenaton... Elle est peu à peu dépossédée par les prêtres, mais toujours elle restera droite et fière. Comme une reine. Comme une héroïne. Un peu trop, même...
L'auteur rationnalise l'origine de cette force et de cette énergie d'un côté par le caractère particulièrement volontaire de son personnage, mais aussi en sous-entendant que c'est Aton lui-même qui rayonne à travers elle et qu'Il lui prête une partie de sa puissance.
Car le monde que Christian Jacq met en scène est un univers merveilleux, empreint de magie et de surnaturel. Les dieux ont une influence notoire sur le monde, se dévoilant parfois aux humains et prouvant leur existence à l'aide de phénomènes inexpliqués, et pourtant totalement acceptés par la population : " Soudain, une main froide, une main de pierre se posa sur sa nuque. Le bras d'Amon avait bougé, le dieu lui-même confirmait le couronnement de Toutankhamon. " Mais il nous montre aussi des miracles beaucoup plus petits et confidentiels : par exemple la famille royale est capable de regarder le soleil dans les yeux sans se les brûler et Akhésa est insensible à la chaleur.
On appréhende donc le monde de la même manière que les Égyptiens, avec leurs légendes et leurs croyances. Jacq nous décrit la lignée royale comme des surhommes (ou des sur-femmes) descendants directement de la race des dieux.
L'auteur détaille le rôle de la religion dans cette société, qui a une place centrale. Le peuple croit dur comme fer à ses dieux et chaque cérémonie a une importance particulière et une magie qui lui est propre : " Akhésa ressentit une étrange impression au plus profond de son corps. Un feu très doux s'éveillait en elle, comme un soleil de fin de jour dorant la peau sans la brûler. L'eau parfumée qui avait circulé sur tout son corps la recouvrait d'une clarté immatérielle, sorte d'or liquide divinisant la chair. Le regard de Toutankhamon lui-même s'était modifié. Les vertus du liquide magique de la purification, pratiqué sur chaque Pharaon depuis l'aube de l'histoire égyptienne, lui communiquaient une forme de vie d'origine céleste. "
" Comme chaque jour, Pharaon se rendait au sanctuaire dont il avait lui-même dirigé la construction. Et chaque jour, il y goûtait l'instant extraordinaire où les hymnes, les prières et les sacrifices faisaient se lever à nouveau le soleil dont dépendaient toutes les formes de vie, au ciel comme sur la terre ".
Ce qui est intéressant, aussi, c'est que l'auteur décrit le mode de vie des Égyptiens, parsemant son récit de faits réels sur l'architecture et le mode de vie, introduisant des éléments constructifs pour la compréhension de cet univers : " Sortant de la villa, ils traversèrent des jardins où on utilisait le chadouf qu'avaient mis au point les ingénieurs d'Akhenaton. Sur un pivot fixe, le paysan avait placé une perche de bonne taille. À l'une de ses extrémités, un seau ; à l'autre, un contrepoids. D'un mouvement régulier, le paysan abaissait la perche pour faire pénétrer le seau dans un bassin d'irrigation. Puis, relâchant doucement cette dernière, il laissait agir le contrepoids. De la sorte, au fil des heures, de grandes quantités d'eau étaient transportées au prix de moindres efforts. " Surtout, nous voyons apparaître au fil des pages les descriptions de l'architecture égyptienne et des fameux monuments : " Akhenaton avait voulu que le temple d'Aton fût unique. Il n'y avait pas de progression, comme dans les autres sanctuaires de l'Égypte, de la clarté de l'extérieur vers le mystère du Saint des Saints où la divinité était cachée au milieu des ténèbres, mais une simple enfilade de cours et de salles ne présentant aucun obstacle à la diffusion des rayons vivifiants d'Aton ".
Au final, Jacq a une écriture légère, très agréable et très facile à lire. Les phrases sont courtes, mais efficaces : elles nous font voir un monde à jamais éteint.
Cependant, Akhésa est presque trop parfaite pour être réellement crédible. Elle est décrite comme étant " fine, élancée, un visage parfait, des cheveux noirs, une peau cuivrée, des seins ronds hauts placés, des hanches étroites, des jambes longues et minces, des pieds d'une infinie délicatesse " et les princes étrangers disent d'elle qu'" aucune de nos femmes ne pourraient rivaliser avec elle ". Le " divin père " Aÿ, éminent personnage politique, dit lui-même : " La princesse Akhésa... La plus belle femme de la cour, en effet ", ce à quoi sa femme, la nourrice Ti, répond : " Je n'ai jamais eu la moindre influence sur elle. Parmi les filles du couple royal, c'est elle qui a la plus forte personnalité. Et maintenant la beauté... La beauté de sa mère, celle d'une reine. " Comment voulez-vous qu'on se retrouve dans ce personnage trop idéalisé ? Jacq aurait vraiment gagné à laisser un soupçon d'humanité à sa déesse.
De plus, on ne parle presque jamais de ses jeunes soeurs (elles ne sont même pas nommées), alors qu'elles sont elles aussi les filles du couple royal et qu'Akhésa les a côtoyées pendant toute son enfance. L'auteur parle seulement des aînées qui se mettent entre son héroïne et le trône (Méritaton et Makhétaton), mais dès qu'elles sont écartées du pouvoir, plus aucune allusion n'est faite. Dommage, cela coûte du réalisme à l'histoire.
Livre facile à lire et agréable. Je me suis quand laissée entrainer dans l'intrigue malgré un scénario que j'ai trouvé un peu simpliste et beaucoup de répétitions
Une période héroïque de l'Egypte antique la fin de la glorieuse XVIIIéme dynastie : Toutankhamon, Ay, Hohemreb. Une succession de règnes obscure dans les détails
Ce livre narre la vie d'une des filles d'Akhénaton Arhkésa, mal connue. Christian Jacq lui prête un rôle important au cours de cette période gagée par la déstabilisation.
Une version très romantique des évènements mais l'érudition de Christian Jacq sur l'Égypte antique est telle que l'on ne se pose pas trop de questions.
Le lecteur se laisse ainsi volontiers emporter dans ces aventures riches en rebondissements et qui une fois de plus nous fait pénétrer au coeur de cette civilisation si attachante
Si les connaissances de Christian Jacq sur l'Egypte ancienne ne sont pas à remettre en cause, je n'ai pas apprécié la lecture de ce roman. J'ai trouvé le style très pauvre et simpliste. Les personnages m'ont paru assez caricaturaux et creux. Après c'est une question de goûts.
Malheureusement je n'ai pas eu le temps de faire cette critique juste après avoir terminé le livre, si bien que tout n'est pas très frais dans mon esprit. Petite critique donc... mais note maximale !
Une fois encore, Christian Jacq a su me transporter dans une autre époque, m'imprégner de l'atmosphère, ces histoires d'amour, de religion et de guerres. Tout y est mêlé à la perfection avec de nombreux bouleversements. J'ai aussi aimé cette fin à laquelle on ne s'attend pas, une fin triste et non méritée mais merveilleusement rédigée, qui m'a touchée...