Le tueur du vendredi 13 : Les Enquêtes de l'inspecteur Higgins [Tome 19]
Résumé :
Les malédictions du vendredi 13 ? Une vieille superstition à laquelle personne ne croit plus !
Pourtant, lorsque Scotland Yard reçoit des menaces du tueur du vendredi 13, force est de constater qu'il a déjà commis douze meurtres et qu'il en annonce un treizième pour le prochain vendredi 13 ! Plus personne n'a envie de plaisanter, d'autant que la future victime pourrait être Sa Majesté en personne !
À l'inspecteur Higgins d'identifier ce mystérieux tueur en série et d'interrompre sa croisade criminelle, tout en se méfiant d'un redoutable chat noir.
Commentaires sur l'ouvrage (12)
Etes-vous superstitieux ? Pour ma part, je m'efforce de ne pas l'être, parce que la superstition, quelle qu'elle soit, enferme, et empêche souvent de vivre. Renoncer aux chats noirs, voire pire, leur faire du mal ? Impensable. De même que de ne rien faire un vendredi 13 – ou un 13 tout court.
Cependant, dans ce titre, un tueur menace de s'en prendre à la reine, ou, à défaut, à un membre de la famille royale le vendredi 13. Les tueurs ont certes leur logique, celle-ci échappe à la logique. Il n'en fallait pas plus pour que Scotland Yard soit sur les dents, et demande, encore et toujours, l'aide de l'ex-inspecteur Higgins.
Il n'est pas facile de naviguer au milieu de personnes qui se disent superstitieuses, et qui, pour certaines, ont beaucoup de choses à cacher à la police. Nous rencontrons aussi des allumés du bocal, ce qui ne veut pas dire qu'ils ne soient pas dangereux. Nous sommes au XXIe siècle, et il existerait des personnes qui souhaiteraient abattre la monarchie anglaise. Je crois que ces personnes n'ont pas compris l'importance de la monarchie en Angleterre (ne serait-ce que pour les énormes profits suscités par toutes ventes de souvenir et autres visites dans les palais).
Il n'est pas facile non plus de déterminer qui, parmi eux, ont pu commettre déjà douze meurtres. Cela prouve assez la cruauté du ou des coupables – ôter la vie n'est pas un acte anodin. Mais cela prouve aussi que les enquêteurs se doivent d'être déterminés et d'être attentifs à tout – surtout aux détails.
Un polar solide, au pays des superstitions.
< < Higgins, on a besoin de toi !
Dis à Mary de préparer tes bagages, fais une caresse à ton chien et ton chat puis au travail. La couronne est en danger ! > >
Une fois de plus, le superintendant Scott Marlow vient déranger Higgins dans sa retraite. Un psychopathe surnommé "Le tueur du vendredi 13", fait des victimes dans toute l'Angleterre et Scotland Yard redoute le pire. Je dis bien le pire, car ce dangereux meurtrier a prévu de s'attaquer à... je n'ose même pas la nommer...
le vendredi 13 est le jour idéal pour commettre des crimes et un sérial killer à le choix cette année car il y en a trois. L'apothéose de ce dernier vendredi touchera la royauté britannique. mais c'est sans compter l'inspecteur higgins et le surintendant Marlow qui devront résoudre cette enquête avant une tragédie.
comme d'habitude, c'est une lecture passionnante ou on cherche quel peut-être le meurtrier jusqu'à la fin
Ca faisait un petit moment que je n'avais pas lu une aventure de l'inspecteur Higgins et ça fait plaisir de le retrouver. Pourtant, j'ai trouvé que ce tome était en dessous des autres car je m'attendais à plus d'ambiance et de mystère. Il y a toujours les redites en début de livre qui permettent à ceux qui découvrent cette série de pouvoir commencer par n'importe lequel des tomes, mais pour ceux qui sont des habitués comme moi ça peut devenir lassant. L'intrigue elle-même ne m'a pas convaincue, peut-être que l'auteur tombe un peu dans la facilité, mais ça reste une lecture sans prise de tête et somme toute facile et agréable alors on lui pardonne ce petit coup de mou.
L'inspecteur Higgins va devoir sauver la Reine en personne dans ce volume.
En effet, un tueur particulièrement machiavélique a envoyé une lettre à Scotland Yard en les informant qu'il avait déjà commis 12 meurtres et que le treizième était prévu pour bientôt.
Cet être immonde se fait appeler le tueur du vendredi 13 et a pour particularité d'assassiner ses victimes à ces dates précises.
Notre célèbre inspecteur va donc devoir se pencher sur les superstitions et malédictions liées à ce jour particulier.
Un roman policier assez sympathique, sans grande violence et avec une intrigue originale.
Honnêtement, j'étais assez sceptique au moment où j'ai commencé le roman... Déjà, la couverture ne me parlait vraiment pas [superficialité, quand tu nous tiens] et Christian Jacq ne m'attirait pas particulièrement [littérairement parlant, s'entend].
Finalement, j'ai plutôt apprécié ma lecture ! Il s'en dégage un certain humour anglais qui tourne quelque peu les personnages en dérision.
Chrisitian Jacq n'a donc pas écrit des livres qu'avec l'Egypte en toile de fond. Il a donc également commis quelques romans policiers à la Agatha Christie autour de l'inspecteur Higgins de Scotland Yard, plaçant toutefois ses histoires dans notre histoire contemporaine même s'il est parfois difficile de s'en convaincre tant son personnage emprunte aux Hercule Poirot et consorts.
L'inspecteur Higgins est, dans cette dix-neuvième aventure (oui je sais, je n'ai pas lu les dix-huit premières, mais cela vous étonne-t-il vraiment ?), l'ex-inspecteur Higgins, ses divergences d'opinion avec sa hiérarchie ayant abouti à son départ du Yard. Il est toutefois contacté par un de ses anciens collègues, un peu comme un Lestrade quémande l'aide d'un Holmes quand il n'a pas d'autre solution.
En cette terrible année pour les superstitieux, l'Angleterre élisabéthaine, comme le reste du monde, va connaître trois vendredi 13. Les deux premiers sont passés essaimant allègrement douze victimes. Les indices laissés par le tueur du vendredi 13 laissent à penser que la treizième victime n'est autre que la Reine, accompagnée de ses corgis.
Higgins et son acolyte, baladés par l'assassin lui-même de fausse piste en fausse piste, e donnent évidemment pour mission d'empêcher ce crime atroce. Sur leur route, ils croiseront une star de la mode vintage sur le retour, une interprète de rêves, une esthéticienne, un phobique du vendredi 13, un entrepreneur de travaux publics qui refait les routes du Royaume et rencontre invariablement des problème quand il atteint le treizième kilomètre de sa route, etc...
Et c'est là que cela pose un petit peu problème : cette succession de pistes s'enchaînent sans raison apparente, sans lien entre elles, et donne une impression de fouillis qui pourrait perdre un lecteur dont la patience sera récompensée à la fin de l'histoire quand il aura enfin une vision d'ensemble du récit et surtout des motivations, agissements et manipulations du tueur.
Il faut donc se laisser porter doucettement par le récit de Christian Jacq pour en apprécier les tenants et les aboutissements. Au final, ce roman policier, digne héritier des récits classiques du genre, permet de passer un moment fort agréable. A mettre entre (presque) toutes les mains qui voudraient offrir un divertissement de coin de cheminée ou de longue journée grise hivernale en ces fêtes de fin d'année. C'est sans prétention, du moins je le crois, c'est honnête, c'est divertissant et c'est déjà très bien.
Lorsque Scotland Yard reçoit une lettre signée du Tueur du Vendredi 13, c'est toute la police londonienne qui est ébranlée surtout que c'est la Reine elle-même qui est menacée. Durant cette affaire de la plus haute importance, l'inspecteur à la retraite Higgins est appelé en renfort et enquête au côté du superintendant Marlow. Entre cette terrible menace et l'ombre du vendredi 13 qui plane sur eux, les deux hommes se lancent dans un véritable compte à rebours.
Comme beaucoup, je connaissais Christian Jacq essentiellement pour ses romans portant sur l'Egypte, c'est donc une découverte de lire cet auteur dans cette enquête policière.
L'inspecteur Higgins est à la retraite, enfin presque. Lorsqu'une affaire un peu plus compliquée que d'habitude arrive à Scotland Yard, il leur prête bien souvent main forte. Cette fois-ci c'est la superstition du vendredi 13 qui est au coeur de tout et il va falloir enquêter parmi ceux qui y croient dur comme fer et ceux qui au contraire n'y prêtent guère attention à cette date si particulière.
Le lecteur enquête donc en plein coeur de Londres aux côtés de ces deux gentlemans anglais, sérieux et précis dans leur enquête les deux hommes vont multiplier les rencontres durant celle-ci. Ils sont également l'exemple même de l'attachement fort que les anglais portent à leur Reine, et ils vont tout faire alors pour trouver le coupable rapidement. Mais que penser de cette menace du vendredi 13 ?
Christian Jacq nous livre dans le tueur du vendredi 13 une enquête simple mais dans laquelle le doute est permanent dans l'esprit du lecteur. Digne des plus grands policiers classiques, le roman garde toujours sans écart l'objectif de trouver qui se cache derrière ces douze premiers meurtres et derrière cette menace du treizième.
L'écriture de Christian Jacq est juste et précise. L'auteur nous fait découvrir une enquête classique, de celle qui plait à tous les âges. La lecture est alors agréable du début à la fin et de l'auteur réussit à nous faire douter jusqu'au bout, l'histoire étant bien ficelée vous risquez d'être surpris quand à l'identité du coupable.
Alors de quel côté serez-vous avec cette superstition du vendredi 13 ? de ceux qui y croient ?
"Le vendredi 13 est un jour terrifiant,
les portes de l'enfer s'ouvrent et les démons châtient les impies.
Se moquer d'eux et de leur action est une faute impardonnable."
Ou plutôt de ceux qui ne prêtent aucune importance à cette date ?
"La superstition ramollit le cerveau et cause les pires bêtises !"
Un polar bien britannique qui se passe à Londres avec Scotland Yard avec un tueur du vendredi 13. Un roman bien écrit, bien mené qui nous tient en haleine jusqu'à la fin de l'histoire. Par contre, je reproche à ce livre, les remarques identiques lorsque les inspecteurs montent dans la Bentley et la fin. La fin est un peu tirée par les cheveux et tous les acteurs suspectés sont de connivence. C'est un peu trop gros pour moi, mais cela n'enlève pas que ce livre est agréable à lire. Des enquêtes bien documentées et agréables à lire.
Si vous êtes triskaidékaphobe ou paraskevidékatriaphobe , ce livre n'est pas pour vous ! Christian Jacq base sa nouvelle enquête de l'inspecteur Higgins sur une des croyances les plus répandues dans le monde : le vendredi 13 porte bonheur ou malheur. Justement, un assassin s'est mis à commettre des meurtres le vendredi 13... Et, pas de chance, il y en a trois dans l'année... et le tueur semble avoir trouver sa victime idéale pour le troisième assassinat : la Reine d'Angleterre ! Higgins et Marlow vont tout faire pour arrêter le coupable avant que le forfait soit perpétré.
*
Ah, les superstitions ! Il y a ceux qui y croient et ceux qui n'en ont rien à faire. Tous les suspects de la liste d'Higgins perçoivent les vendredis 13 comme un jour de chance ou l'inverse : une prêtresse de la mode, une voyante, les membres du club du vendredi 13, un lutteur de foire, une esthéticienne.... Rien ne les rapproche à part les meurtres. Mensonges, faux-semblants, caractères bien trempés...Marlow et Higgins vont avoir fort à faire sur cette enquête !
*
Christian Jacq nous entraîne une nouvelle fois dans une enquête toute en finesse où les déductions et les indices subtilement parsemés permettent de découvrir le tueur. L'écriture est toujours aussi plaisante et rythmée. le lecteur ne peut s'empêcher d'essayer de se mettre à la place d'Higgins afin de trouver le coupable mais aussi ses raisons.
Victoria Thirteen, 12ème victime du tueur du vendredi 13, est étranglée après s'être moquée de cette superstition qu'est le vendredi 13.
Au même moment, Scotland Yard reçoit une lettre lui faisant découvrir que la 13ème victime sera la reine Elizabeth II.
L'ex-inspecteur Higgins aidé de Marlow devra donc mener l'enquête et découvrir l'identité de ce fameux tueur et l'empêcher de commettre son acte diabolique.
Très chouette policier, l'écriture est fluide, les chapitres sont courts et clairs. L'enquête est très bien menée, chaque chapitre comporte l'interrogatoire d'une personne pouvant être suspecte.
Tout démarre à partir de la superstition du vendredi 13 qui peut porter soit malheur ou chance aux personnes.
Higgins me fait penser à un "Hercule Poirot" des temps modernes, comme lui il sait aller au coeur du problème et interroger les suspects avec calme et dextérité.
Je connaissais Christian Jacq pour ses romans sur l'Egypte mais pas ceux des enquêtes de l'inspecteur Higgins.
Un livre que je recommande grandement, je n'ai pas été déçue.
Ce qui m'a attiré dans ce livre et bien le fait tout d'abord d'avoir déjà un livre de cette auteur dans ma bibliothèque (même s'il est encore sur les étagères "à lire"), le vendredi 13 (étant moi même née un 13 et retrouvant souvent ce chiffre dans mon quotidien) et bien sur, un tueur en série, une bonne lecture en perspective.
Le tueur a déjà fait plusieurs victimes, aucun indices visiblement et la prochaine victime sera sûrement sa Majesté en personne. Il faut agir, et vite. L'inspecteur Higgins accompagné du super intendant Marlow vont tout mettre en oeuvre pour démasquer l'assassin.
J'ai trouver ce roman agréable, la lecture y est simple et fluide, les chapitres sont très courts ainsi que le livre en lui même ce qui occupera deux, trois petites heures d'une journée bien agréablement.
Je n'ai pas un seul instant réussit à trouver qui était l'assassin, l'auteur nous mène de piste en piste sans rien nous dévoiler de ses idées sur l'identité de l'assassin, l'histoire est vraiment bien ficelé.
J'ai un peu moins apprécié l'environnement, je préfère être dans les bas fond de Londres, près de la Tamise ou dans la lande avec Sherlock et Watson qu'à Chelsea. J'aurais préféré découvrir des paysages plus sombre, le brouillard qui se lève au moment des meurtres et autres mais bon peut être une prochaine fois.
J'espère retrouver par contre un peu plus Mary, Geb et Trafalgar qui ont l'air d'être des personnages tout a fait sympathique dans ma prochaine découvre de Christian Jacq.
Une belle découverte :)